Un paysan reçoit la visite inopinée d’un fonctionnaire de l’URSSAF et d’un inspecteur
du travail, car il apparaîtrait qu’il ne paie pas correctement son personnel.
Le fonctionnaire de l’URSSAF :
– J’aimerais voir la liste de vos salariés ainsi que leurs fiches de paye ! Le fermier :
– D’abord il y a le garçon de ferme :
il travaille 35h/semaine et je le paie 400 € / semaine + le logement et le couvert.
– Ensuite il y a la cuisinière :
elle travaille 35h/semaine et je lui donne 300 € /semaine + logement et couvert.
– Enfin, il y a “Simplet” :
il travaille 18 heures par jour (126h/semaine ) et accomplit 80% de tous les travaux de la ferme.
Je lui donne 10 € / semaine, et il paie sa nourriture et son logement.
Le samedi soir je lui achète une bouteille de whisky et, à l’occasion, il dort avec ma femme !”
L’inspecteur du travail :
– C’est ça ! C’est lui qu’on veut voir !
Le fermier :
– Il est en face de vous ! C’est moi !!!
LE RAPPEL DU BON SENS PAYSAN QUE NOUS AVONS TOUS CONNU EN FAISANT CE PROBLEME …
à sa mort, un AGRICULTEUR laissa en héritage dix-sept chevaux à ses trois fils.
Dans son testament, le père avait ainsi établi le partage de l’héritage :
– Mon fils aîné recevra la moitié (1/2) de tous les chevaux
Mon second fils recevra le tiers (1/3) de tous les chevaux
Mon plus jeune fils recevra le neuvième (1/9) de tous les chevaux
Or il était tout à fait impossible de diviser 17 chevaux par deux, par trois et par neuf.
La chicane prit donc entre les trois fils.
Puis, à un moment donné, ils décidèrent de faire appel à un voisin, dont ils appréciaient l’intelligence, dans l’espoir qu’il
puisse trouver une solution à leur différend.
Le voisin prit donc le testament et le lut avec grand soin.
Après quoi, il alla chercher son propre cheval et l’ajouta aux dix-sept (17) autres.
Il y avait maintenant dix-huit chevaux dans le champ.
Dès lors, il devint possible aux héritiers de procéder au partage,
tel que prévu dans le testament du père.
Car :
– la moitié de 18 = 9 chevaux
le tiers de 18 = 6 chevaux
le neuvième de 18 = 2 chevaux
En faisant l’addition, cela donna :
– Au fils aîné :…….. 9 chevaux
Au second fils :…… 6 chevaux
Au plus jeune fils :.. 2 chevaux
TOTAL………….. .. 17 chevaux
Il restait un cheval, celui du voisin, que celui-ci reprit et ramena à sa ferme.
Moralité :
– L’intelligence et le bon sens priment sur le raisonnement mathématique ?
Marcel fait du stop sur le bord de la route par une nuit très sombre, alors qu’il y a une terrible tempête.
Hélas il n’y a pas de voitures qui passent.
Trois heures plus tard, La tempête et l’orage sont toujours aussi forts qu’il est impossible de voir plus loin que 3 mètres devant soi.
Tout à coup il voit une voiture qui s’approche lentement et qui s’arrête.
Marcel sans se poser de questions monte dans la voiture, ferme la porte, et lorsqu’il se retourne il se rend compte qu’il n’y a personne à la place du conducteur.
La voiture démarre doucement, il ne voit rien devant mais sait qu’il y a un virage très sévère qui approche.
Effrayé, il commence à prier. Il n’a pas fini d’être étonné lorsque juste avant d’arriver sur le virage, la porte du conducteur s’entrouvre et une main entre pour faire tourner le volant dans le virage.
Cette fois il y croit au bon Dieu ! Paralysé par sa peur il s’accroche de toutes ses forces à son siège. Il reste immobile et voit que la même chose arrive à chaque fois qu’il y a un virage sur la route.
La tempête augmente en force, alors, à l’approche de son village, il descend de la voiture et part en courant, entre dans un bar, demande deux tequilas doubles et en tremblant commence à raconter à tous ce qui lui est arrivé.
Une demi-heure plus tard arrivent deux gars complètement trempés, l’air exténués et l’un dit à l’autre :
-“Regarde là-bas, c’est le con qui est monté dans la voiture pendant qu’on la poussait” !!
Eugène un vieux paysan gagne au tiercé et tout content va au bistrot fêter ça avec ses copains.
Il leur dit :
– Allez tournée générale !
Et puis demande à ses amis :
– J’aimerai faire un cadeau à ma femme mais je n’ai pas d’idée.
– Offre-lui une télévision couleur
– Oh mais elle en a déjà une.
– Eh bien une machine à laver alors.
– Oh mais elle en a déjà une aussi.
– Je sais, offre lui un balai à chiottes, tu verras c’est bien pratique.
– Oh ben oui c’est une bonne idée car elle n’en a pas.
Eugène quitte le bistrot et va acheter son balai et l’offre à sa femme.
Quelques jours plus tard, les amis d’Eugène lui demandent :
– Alors ta femme était contente de son cadeau ?
– Oui elle était contente de son balai. Elle s’en est servie trois jours… Mais finalement elle est revenue au papier, elle trouve ça plus pratique !!!
Une maman rentre à la maison un soir et retrouve une lettre:
<< Maman chérie,
Je suis désolée de devoir te dire que j’ai quitté la maison pour aller vivre avec mon copain.
Il est l’amour de ma vie. Tu devrais le voir, il est tellement mignon avec tous ses tatous,
son piercing et sa super moto. Mais ce n’est pas tout ma petite maman chérie.
Je suis enfin enceinte et Abdoul dit que nous aurons une vie superbe dans sa caravane en
plein milieu des bois. Il veut beaucoup d’enfants avec moi, c’est mon rêve aussi.
Je me suis enfin rendu compte que la marijuana est bonne pour la santé et soulage les maux.
Nous allons donc en cultiver et en donner à nos copains lorsqu’ils seront à court d’héroïne
et de cocaïne pour qu’ils ne souffrent pas. Entre-temps, j’espère que la science trouvera un
remède contre le sida pour qu’Abdoul aille mieux. Il le mérite vraiment tu sais.
Ne te fais pas de soucis pour moi maman, j’ai déjà 13 ans, je peux faire attention à
moi toute seule … et l’expérience qui me manque, Abdoul peut la compenser avec ses 44 ans.
J’espère pouvoir te rendre visite très bientôt pour que tu puisses faire la connaissance
de tes petits enfants. Mais d’abord je vais avec Abdoul chez ses parents en caravane pour que
nous puissions nous marier. Comme ça ce sera plus facile pour lui, pour son permis de séjour.
Ta fille qui t’aime..
PS : Je te raconte des idioties maman.. Je suis chez les voisins !
Je voulais juste te dire qu’il y a des choses bien pires dans la vie que le bulletin scolaire que
tu trouveras sur ta table de nuit…>>
Et voici la réponse du père:
<< J’ai donné ta lettre à ta mère.
Elle a fait immédiatement un infarctus et nous avons dû l’hospitaliser. Les médicaments la maintiennent
en vie. Lorsque j’ai expliqué à nos avocats ce qui s’était passé, ils m’ont recommandé de te répudier.
Aussi tu n’es plus notre fille et nous t’avons retirée de nos testaments. Nous avons mis à la poubelle
toutes tes affaires et utilisons ta chambre comme débarras. Nous avons aussi changé la serrure de
la porte, il te faudra trouver un logement, mais n’essaie pas d’utiliser notre carte de crédit car
nous l’avons annulée, ainsi que fermé ton compte bancaire (l’argent qu’il y avait dessus nous allons
l’utiliser pour le traitement de ta mère). N’essaie pas de nous appeler pour demander de l’argent,
nous avons de toute façon résilié ton contrat de téléphone mobile. Les jouets que tu gardais, tes
instruments de musique, ta collection de CD et de photos, nous les avons vendus au voisin (celui dont
tu disais qu’il te regardait par la fenêtre quand tu t’habillais).
Ah! bien sûr il te faudra trouver du travail, puisque nous n’allons plus payer pour toi ni tes études ni
tes cours de musique. Si tu ne peux trouver ni logement ni travail, je te conseille d’aller voir Paulo.
C’est quelqu’un que j’ai connu dans l’armée, je ne sais pas bien ce qu’il fait… mais je lui ai envoyé
une photo de toi et il m’a dit qu’une fille comme toi n’aurait aucun mal à vivre dans certains pays
du Maghreb qu’il connait bien, et qu’il pourrait t’aider.
Enfin j’espère que tu seras très heureuse dans ta nouvelle vie.
L’homme que tu appelais Papa .
PS : Ma chérie c’est une blague ! Je regarde la télé avec ta mère, qui se porte très bien.
Je voulais juste te montrer qu’il y a des choses plus graves que de passer les 8 prochaines semaines
sans sortir, et sans regarder la télé pour le mauvais bulletin, et pour la petite blague…>>